Vous êtes sportif ? Débutant ou confirmé, le Run In Marseille est fait pour vous ! Imaginez de courir dans un cadre magnifique grâce à des parcours réservés, de découvrir ou redécouvrir notre belle cité phocéenne à travers trois choix de courses.

 

Ce dimanche (19 mars), Run In Marseille propose trois distances : Le 10 kilomètres avec un départ à 11 h de la place Castellane, le demi-marathon de 21,1 kilomètres avec un départ à 8h45 au pied de la Cathédrale de la Major et enfin le marathon de 42,195 kilomètres avec un départ à 8h30 aux Goudes.

A noter, la possibilité pour les enfants de participer à cet événement avec « La pitch marathoon’s », une course gratuite pour les plus petits avec deux courses : Une pour les 5/7 ans de 800 mètres avec un départ à 15 h 00 et une pour les 8/10 ans sur une distance d’un kilomètre avec un départ à 15h20. Les courses pour enfants ayant lieu le samedi 18 mars, sur le Vieux-port.

En quelques chiffres le Run In Marseille 2017 c’est 13000 inscrits adultes et 600 enfants attendus, 65 nationalités représentées et 700 bénévoles qui mènent à bien ce projet. C’est aussi un village sur le parvis de l’Hôtel de ville sur le vieux port avec plus de 30 exposants et partenaires, en présence de sportifs comme Benoît Z, Nathalie Simon et Muriel Hurtis.

Pour l’anecdote, sont prévus 3,4 tonnes de bananes, 1,2 tonnes d’oranges, 250 kilos de fruits secs, 22700 morceaux de sucre, 29000 litres d’eau et 2 kilomètres de barrières afin de veiller au bien-être et à la sécurité des coureurs.

Le Run In Marseille se veut être un moment de partage des valeurs du sport, qui permet de voir notre ville avec un regard différent. Ce festival de running, adapté à plusieurs niveaux sportifs, est soutenue par la ville de Marseille, notamment grâce à ses services techniques avec qui les organisateurs travaillent toute l’année pour organiser au mieux l’événement, ainsi que la métropole. Richard Miron et Michel Parra ont d’ailleurs souligné leur attachement à ce projet malgré les difficultés d’organisation.

C L

Crédits photos Patrick Di Domenico