À l’occasion du 2 eme  festival  ROS’été,  quelques commerçants des rues marseillaises du 1er et 6 eme arrondissement  vont  accueillir les amateurs de rosé sur un parcours dégustation.   Les enseignes participantes  sont  prêtes et vous attendent nombreux !   Ramener la découverte de ces bons vins rosés au cœur du centre  ville de Marseille  comme un chemin qu’il faut suivre,  va apporter une touche spirituelle  à cette manifestation comme lorsqu’on prend la route pour  Compostelle.
Alors laissez-vous entrainer et dégustez ces crus  colorés tout au long de ce joli parcours !

Un grand merci à Nicole Richard de la boutique  Le Sommelier et ses partenaires qui ont permis de commencer la dégustation de ce beau programme.

Festival ROS’été
La Provence est la capitale mondiale du vin rosé. Cette production longtemps dénigrée représente aujourd’hui un énorme enjeu économique et prestigieux.
Avec des techniques de culture et de vinification modernes et spécifiques, la région a sublimé la tradition du vin rosé.
Il est la goutte de fraîcheur des étés méditerranéens. Il représente la fête, la convivialité et les vacances. Il est un facilitateur de découvertes œnologiques, car il est l’accès au vin des non-initiés. Consommé avec modération, il est un breuvage sain. La Provence au sens large est dotée de terroirs différents et complémentaires qui permettent d’associer une multitude de styles culinaires.
Le Festival ROS’été est un moyen de découvrir toutes les facettes du savoir-faire provençal.
Le cœur en rose
Toutes les dégustations du Festival Ros’été, feront l’objet d’une collecte dont les fonds seront reversés en totalité à l’association Le Point Rose.
Pour 5€, les festivaliers, repérables à leur bracelet rose, pourront participer aux différentes dégustations.

Déroulé du Festival
Jeudi 14 juin : La nuit en rose, grande soirée festive et musicale
Vendredi 15 juin : La ville en rose, Parcours-dégustation 1
Vendredi 22 juin : La ville en rose, Parcours-dégustation 2
Mercredi 27 juin :Cocktail en rose au Carry Nation animé par Guillaume Ferroni